Depuis ses fondements au début du XXème siècle par Sigmund Freud, la psychanalyse a su s’adapter aux changements de la société et des modes de vie. Si une psychanalyse en mode ‘cure type’ ou ‘divan- fauteuil’ reste une expérience extrêmement enrichissante, voire salvatrice, peu de gens se l’autorisent, faute de temps ou de moyens.

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Plus accessible sur la base de ces considérations, la psychothérapie psychanalytique est dérivée de la psychanalyse. Elle en modifie le cadre, à savoir que les séances se déroulent en face à face et que la fréquence est habituellement de une à deux séances par semaine. 

Il s’agit d’une méthode de traitement des troubles psychiques qui utilise la parole pour élucider les problèmes caractéristiques du patient. Il s’agit d’une approche centrée sur l’exploration du fonctionnement psychique, en prenant en compte sa dimension inconsciente. En acquérir une meilleure compréhension permet à une personne de s’approprier, peu à peu, une attitude raisonnable et apaisée vis-à-vis des mouvements internes qui l’agitent. Le patient acquiert ainsi davantage de bienveillance envers lui-même et envers son entourage.

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J’ai fait le choix de la psychanalyse au travers de mes études de base en psychologie et dès mes premiers stages en milieu psychiatrique dans des lieux de psychothérapie institutionnelle dont la psychanalyse est une référence majeure.

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Je continue à suivre des supervisions et des formations en fonction de mes besoins, intérêts et disponibilités. En tant que membre de la Fédération Suisse des Psychologues (FSP), je suis tenue d’en respecter le code de déontologie, dont la formation continue fait partie intégrante, de même que le respect de la confidentialité notamment.

 

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